Sommaire de Première n°518 : Adieu les confinements !
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Première n°518 : Virginie Efira est en couverture
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Première n°518 : Voici son sommaire illustré
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Première n°518 : En couverture : Le grand embouteillage des films en salles
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Première n°518 : Interview de Zack Snyder
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Première n°518 : Hommage à Bertrand Tavernier
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Première n°518 : Rencontre avec Mélanie Laurent
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Première n°518 : Le Film qui... de Jean-Pascal Zadi
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Première n°518 : Interview de Zack Snyder

Première n°518 : Hommage à Bertrand Tavernier

Première n°518 : Rencontre avec Mélanie Laurent

Première n°518 : Le Film qui... de Jean-Pascal Zadi

Réouverture des cinémas, Virginie Efira, Kate Winslet, Zack Snyder, notre hommage à Bertrand Tavernier, Mélanie Laurent... Ce numéro de mai 2021 est bien rempli !

Le 518e numéro de Première arrive ce mercredi 28 avril dans les kiosques. Au programme ? Un dossier sur la réouverture des salles de cinéma, prévue pour l'instant pour la mi-mai, mais sans date précise, et le grand embouteillage de films qui s'annonce. Parmi les intervenants, Virginie Efira nous raconte son année très singulière : en 2020, elle a tourné trois longs métrages et vécu deux sorties de films, dont celle mouvementée d'Adieu les cons, d'Albert Dupontel, qui a depuis triomphé aux César. A la réouverture des salles, on la retrouvera dans pas moins de six films, dont le très attendu Benedetta, de Paul Verhoeven.

Adieu les cons : Dupontel au top [Critique]

Pour ce numéro, nous avons aussi rencontré Kate Winslet, géniale dans la minisérie de HBO Mare of Easttown, Zack Snyder, qui, juste après avoir créé l'événement grâce à son director's cut de Justice League, revient sur Netflix avec un film de zombies, Army of the Dead ou encore Mélanie Laurent, qui sera elle aussi bientôt au coeur d'une nouvelle production de la plateforme, Oxygène, d'Alexandre Aja (La Colline a des yeux, Piranhas 3D). Sans oublier notre hommage à Bertrand Tavernier, qui a souvent parlé de sa passion du cinéma dans Première au fil de sa carrière.

Le cahier critiques est également bien rempli en ce mois de mai 2021, avec notamment notre coup de coeur pour Judas and the Black Messiah, qui vient d'offrir à Daniel Kaluuya l'Oscar du meilleur acteur dans un second rôle, ainsi que les réussis La Grande traversée, de Steven Soderbergh (tous les deux sont disponibles sur Canal +), Love and Monsters, avec Dylan O'Brien ou encore les séries événement Le Serpent , portée par le talentueux Tahar Rahim, ou The Nevers, de Joss Whedon. Et ce mois-ci, c'est Jean-Pascal Zadi qui se prête au jeu du Film qui...

Bonne lecture !

Bertrand Tavernier: " J’ai l’impression de faire à chaque fois un premier film "

Voici l'édito de Première n°518 :

Renaissance

Cela fait maintenant plus d’un an que le cinéma est rentré au paddock. Un an que la création artistique tourne au ralenti. Les salles et les grands festivals ont connu la disette et n’ont pu programmer qu’un nombre très réduit de films (entre deux confinements). Et comme le rappelle Virginie Efira dans nos pages, nous avons été les victimes d’une étrange distinction entre ce qui est considéré comme essentiel et ce qui ne l’est pas. Quoi qu’on pense de tout ce qui s’est fait pour protéger le secteur, la culture, et le cinéma en particulier, a sacrément manqué de considération.

Mais les beaux jours reviennent ! et les vaccins injectent une bonne dose d’espoir. À l’heure où nous bouclons ce magazine (en plein confinement, le jeudi 8 avril), le calendrier de la reprise n’est toujours pas complètement fixé, mais une chose est sûre : l’industrie se remet en ordre de bataille. Les écrans vont se rallumer, les salles se préparent. Nous allons enfin pouvoir retourner au cinéma. Tout ne sera pas simple et c’est ce que nous avons essayé de mesurer dans notre dossier central. Il y aura des jauges, l’industrie devra se recomposer et si le grand embouteillage qui menace est une chance pour les spectateurs, pour les distributeurs, ce sera plus compliqué. Mais à travers les entretiens et les rencontres qui ponctuent cet article, une chose est sûre : le cinéma reste plus fort que tout.

Gaël Golhen, rédacteur en chef

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