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Hier, Alec Baldwin s'est fait remarquer pour son énorme dérapage homophobe sur Twitter.Excédé face à un journaliste britannique du nom de George Stark, qui avait rapporté sur le MailOnline que sa femme Hilaria Thomas twittait pendant les funérailles de James Gandolfini, le héros de Pearl Harbor a complètement pété un plomb.Dans une série de posts violents et clairement homophobes, l'acteur de 55 ans a traité le journaliste de "toxic little queen" (traduisible par "petite folle malsaine") et lui a proposé de lui enfoncer son pied dans l'arrière-train, entre autres.Face au tollé qui a suivi ces propos, celui qui sera bientôt papa pour la deuxième fois tente de se justifier. Dans un communiqué publié par TMZ, Alec Baldwin retourne sa veste : "J'ai appelé ce mec "une reine" et les gens pensent que c'est homophobe ... une reine pour moi a une signification différente. C'est juste quelqu'un qui est au dessus de tout. Ça n'a pas forcément de connotation sexuelle. Je connais des femmes qui se comportent comme des reines, je connais des hommes hétéros qui se comportent comme des reines et je connais des homos qui se comportent comme des reines. Pas besoin d'avoir une connotation sexuelle ou homophobe. Pour moi, ce sont des personnes qui pensent que les règles ne s'appliquent pas à eux-mêmes."C'est ce qui s'appelle un rétropédalage peu convaincant. Alec Baldwin a d'ailleurs volontairement  passé sous silence l'histoire du pied dans le fondement que le malheureux journaliste "risquait de trop apprécier".ET AUSSI :PHOTOS - Alec Baldwin : des insultes homophobes et violentes à un journaliste anglais