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Elisabeth Bost, l’ex-compagne de Jean-Luc Delarue sort du silence pour la première fois. Interrogée par le magazine Paris Match, la chroniqueuse du Grand 8 parle pour la première fois depuis le décès de l'animateur. Un moyen pour elle de régler ses comptes avec ses détracteurs.

Alors que cela fait plus d’un an que Jean-Luc Delarue est décédé, son ex-compagne Elisabeth Bost a décidé de sortir du silence. En guerre avec Anissa Delarue, la veuve de l’animateur de France 2, Elisabeth a profité d’un entretien à Paris Match pour régler ses comptes : "Ce qui me révolte, c’est qu’on puisse tenter d’instiller un doute dans l’esprit de notre fils en allant lui dire que ses parents ne se sont pas aimés. Suggérer que sa mère l’empêchait de voir son père mourant, c’est ignoble."Elisabeth Bost ne supporte pas qu’on puisse faire du mal au fils né de sa relation avec l'ancien animateur vedette de France 2, Jean, seulement âgé de sept ans. Pourtant dans cette bataille sans merci que se livrent les deux ex-compagnes de Jean-Luc Delarue, c’est bien le fils unique de l’animateur qui souffre le plus. Car si Elisabeth Bost et Anissa Delarue sont en désaccord, c’est bien à cause de l'héritage de l'homme de télévision. "Dans ce testament rédigé en février 2012, Jean-Luc institue son assistant, Arnaud Gachy, comme administrateur des biens légués jusqu'à la majorité de Jean. Et évidemment, cela va avec toute une batterie de commentaires, de suppositions vaseuses tentant d'expliquer le pourquoi du comment de cette décision hors du commun" explique Elisabeth Bost."J’aimerais que les gens qui font de grandes déclarations pensent avant tout à lui et à son avenir. C’est à Jean qu’ils devront, un jour, rendre des comptes. Désormais, il faudrait que l’on se taise afin de le laisser grandir paisiblement" ajoute la chroniqueuse de Laurence Ferrari.La chroniqueuse du Grand 8 regrette également la vente de l’autobiographie posthume de Jean-Luc Delarue. Elle avait même tenté de demander l'arrêt de la diffusion de l'ouvrage estimant qu’il ne pouvait s’agir des écrits de son ancien compagnon. "Qui a envie de voir des affaires personnelles, intimes, dévoilées en place publique? (…) C’est très violent en effet" déclare la jeune femme.Aujourd’hui Elisabeth Bost ne souhaite qu’une chose "le silence et la paix" pour que son fils Jean puisse grandir sereinement.