Toutes les critiques de Dancers (Documentaire)

Les critiques de Première

  1. Première
    par Eric Vernay

    Pas facile de devenir danseur étoile quand "la douleur fait partie du métier". C’est pourtant l’objectif des trois adolescents dont Kenneth Elvebakk raconte le parcours du combattant, avec temps libre sacrifié pour s’entraîner, stress des concours et amitié mise à rude épreuve. Monté cut sur une musique tonitruante et jalonné d’interviews façon téléréalité, ce documentaire ne s’embarrasse pas de subtilités de mise en scène. Mais les multiples soubresauts du récit assurent l’efficacité – formatée – du spectacle, généreux en dilemmes cornéliens : accepté dans une prestigieuse école anglaise, Lukas abandonnera- t-il ses amis en Norvège alors qu’ils risquent de voir leur classe fermée, faute de garçons ? Suspense et entrechats.

Les critiques de la Presse

  1. StudioCiné Live
    par Xavier Leherpeur

    La caméra les suit, déroulant le menu un peu trop prévisible de cet apprentissage de l'extrême. Tout en brisant parfois, grâce au montage, la logique sensuelle de cet art, pour en révéler une réalité plus brutale.

  2. Télérama
    par Cécile Mury

    Attachant, malgré une incessante et pénible musique de fond qui souligne tout, façon télé-réalité.

  3. Le Monde
    par Noémie Luciani

    A vouloir rappeler qu’apprendre la danse n’est pas forcément une descente aux enfers, Kenneth Elvebakk s’autorise trop d’ellipses et de détours pour ne pas laisser le spectateur sur sa faim, et avec l’impression curieuse d’avoir observé une histoire vraie un peu trop belle pour l’être.

  4. A voir à lire
    par Virginie Morisson

    La qualité de l’image est bien là et permet à "Dancers" de se distinguer, malgré la lenteur de son rythme.

  5. La Croix
    par Marie Soyeux

    Malgré l’humour et le charisme des trois adolescents, la première moitié du film apparaît décousue et paradoxalement désincarnée.

  6. Le JDD
    par Barbara Théate

    Si le documentaire leur (aux danseurs ndlr) donne beaucoup la parole, il les montre très peu à l’œuvre dans leurs chaussons. Difficile donc de juger de leurs capacités réelles. Dommage.