Toutes les critiques de Tempête de boulettes géantes

Les critiques de Première

  1. Première
    par Christophe Narbonne

    Phil Lord et Chris Miller, 32 et 34 ans, sont promis à un bel avenir. Adaptation du livre pour enfants Il pleut des hamburgers, leur premier film laisse en effet entrevoir
    des qualités très estimables : un univers graphique fort, un humour cartoonesque, une émotion palpable. Du Pixar light, en somme.

  2. Première
    par Julien Welter

    Doté d'un humour décapant, ce long-métrage se pose comme le plus grand fantasme alimentaire imaginé depuis la maison en sucreries de Hansel et Gretel. Estomacs fragiles, s'abstenir.

Les critiques de la Presse

  1. Technik'art
    par Gaël Golhen

    ça va vite, c'est (réellement) hilarant et (assez) radical (sur la malbouffe, notamment). Les estomacs fragiles iront avec précaution voir ce film qui dégueule de bouffe filmée de manière organique. Pour les autres, c'est open bar.

  2. A voir à lire
    par Frédéric Mignard

    Dans ce spectacle total, les amateurs de bonbons acidulés, moins intéressés par la bonne cause des sentiments, se contenteront pour leur part de combats dantesques avec des poulets transgéniques, jubileront devant l’intervention d’un gang d’oursons gélatineux que l’on croirait sortis d’un paquet Haribo, et savoureront particulièrement l’attaque de New York et de Paris par des aliments géants à vocation de destruction massive. Bref, merci donc à Sony de nous en resservir une deuxième plâtrée, car là, c’est vraiment trop bon !

  3. StudioCiné Live
    par Christophe Chadefaud

    Comédie à l'animation arc-en-ciel délicieusement secouée du bocal, elle assume sa loufoquerie sans chercher à se justifier par une quelconque morale antimalbouffe. Assaisonné d'un filet de romance qui réhabilité le "geek" au passage, Tempête de boulettes géantes nous a gardé quelques pièces de choix dans la drôlerie à l'image de Flint à son père le suppliant de lui envoyer un mail capital pour l'avenir de l'humanité.

  4. Télérama
    par Aurélien Ferenczi

    Quand on n'aime pas trop les films d'animation qui visent la corde sensible, on apprécie ceux qui renouent avec l'esprit cartoon d'antan. Tempête de boulettes géantes (dont on préfère le titre original, Nuageux, avec possi­bilité de chute de boulettes de viande) ne brille pas par la qualité de son animation, mais son scénario, malin et efficace, et ses gags font souvent mouche.

  5. Elle
    par Helena Villovitch

    Ca ne mange pas de pain, mais c'est mignon tout plein.

  6. 20 Minutes
    par Caroline Vié

    Tempête de boulettes géantes mérite d'être vu en relief pour prendre des tartes plein la figure. Son humour frappadingue dissimule un message sympathique sur les dangers de la malbouffe. A déguster en famille !

  7. Pariscope
    par Virginie Gaucher

    Ce film catastrophe aux monstres peu courants dénonce la malbouffe et la junk food. l’aspect visuel du film est très réussi. En 3D, effet bœuf garanti !

  8. Nouvel Obs
    par Jean-Philippe Guerand

    « Tempête de boulettes géantes » est un film d’animation fait par des sales gosses pour des sales gosses, mais qui vise toutes les générations grâce à un habile saupoudrage de blagues potaches sur un scénario digne d’une série B des années 1950 inspiré par un classique pour enfants de Ron et Judi Barrett.

    Les nostalgiques des batailles de purée et de petits-suisses devraient apprécier.

  9. Libération
    par Bruno Icher

    (...) comme on pouvait le craindre, Tempête... est une fantaisie un peu bébête et totalement inoffensive sur le thème de la surconsommation alimentaire, phénomène qui préoccupe tout l'Occident, au premier rang duquel l'Amérique. (...) Passer la relative surprise de voir dégringoler des averses de hamburgers, la surenchère devient rapidement vaine, et même pas vraiment écoeurante.

  10. Le Monde
    par Jacques Mandelbaum

    Cette partie finale, au cours de laquelle Flint et ses amis affrontent des cohortes de spaghettis sauce bolognaise et autres escadrons de poulets rôtis, est de loin la plus inspirée d'un film qui déroule par ailleurs son programme sans audace ni surprise véritables.